Glossary entry (derived from question below)
French term or phrase:
avoir l\'air chèvre
Spanish translation:
parecer tonto/tonta (en este contexto)
Added to glossary by
Nicolás Valencia
Aug 18, 2010 14:45
13 yrs ago
French term
avoir l'air chèvre
French to Spanish
Art/Literary
Idioms / Maxims / Sayings
"Tenez, vous, dites-moi, pendant que nous sommes seuls: ai-je l'air chèvre de toutes ces femmes-là? Sans doute, aujourd'hui, l'insomnie m'enfonce un peu les traits, - je ne dors plus, vous savez?".
Merci! :-)
Merci! :-)
Proposed translations
(Spanish)
5 +1 | parecer tonto/tonta | Manuela Mariño Beltrán (X) |
3 +2 | parecer enojado(a) | Zuli Fernandez |
4 | parecer incómodo/molesto | José Mª SANZ (X) |
Proposed translations
+1
2 days 17 hrs
Selected
parecer tonto/tonta
;-)
Saludos
Saludos
Peer comment(s):
agree |
José Mª SANZ (X)
3 hrs
|
¡Muchas gracias Chema!
|
4 KudoZ points awarded for this answer.
Comment: "Muchas gracias a todos."
+2
59 mins
parecer enojado(a)
Je ne connaissais pas cette expression, mais il me semble que cette traduction pourrait convenir à ton texte. Par exemple: "¿Parezco enojada como todas esas mujeres?" ou "¿Tengo cara de enojada como ...?"
♦ Prendre la chèvre (vieilli, fam.). Se mettre en colère. Faire devenir chèvre. Faire enrager. Quand on n'a pas d'enfants, on est jaloux de ceux qui en ont et quand on en a, ils vous font devenir chèvre! (Pagnol, Fanny, 1932, I, 7, p. 107) :
6. Aussi, il n'y a qu'un instant, ai-je failli prendre la chèvre, comme l'on dit, quand M. le curé m'a répondu (...) qu'on n'avait que faire de mes services.
F. Fabre, Les Courbezon, 1862, p. 374.
♦ Prendre la chèvre (vieilli, fam.). Se mettre en colère. Faire devenir chèvre. Faire enrager. Quand on n'a pas d'enfants, on est jaloux de ceux qui en ont et quand on en a, ils vous font devenir chèvre! (Pagnol, Fanny, 1932, I, 7, p. 107) :
6. Aussi, il n'y a qu'un instant, ai-je failli prendre la chèvre, comme l'on dit, quand M. le curé m'a répondu (...) qu'on n'avait que faire de mes services.
F. Fabre, Les Courbezon, 1862, p. 374.
Peer comment(s):
agree |
Rafael Molina Pulgar
2 hrs
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Gracias Rafael
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agree |
Manuela Mariño Beltrán (X)
6 hrs
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Gracias por tu apoyo y por tu comentario.
|
4 hrs
parecer incómodo/molesto
Yo lo veo más como molesto, incómodo. Creo que se trata de malestar.
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Note added at 7 hrs (2010-08-18 22:04:58 GMT)
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Mes humeurs
1 2 suivant
Dimanche 4 juillet 2010 7 04 /07 /2010 10:27
Et vous trouvez ça drôle ? ! (1)
A trente ans, une amie vit fleurir quelques fâcheux et disgracieux boutons sur son visage et son dos.
Bien évidemment elle essaya toutes les crèmes et traitements possible et inimaginables y compris les remèdes de grands-mères. Sacrées farceuses les mamies !
Rien n’y fit, les boutons boutonneux étaient toujours là, insolents et arrogants...
Désespérée, elle consulta un dermatologue.
Elle en fut bien avisée car celui-ci, lui appris qu’elle avait une poussée d’acné.
Elle en fut étonnée, à son âge. Le médecin lui indiqua que le phénomène se répandait de plus en plus et il n’était pas rare de voir de jeunes femmes se retrouver à trente ans avec de l’acné.
Et alors ?
La médication proposé : Roaccutane. Un puissant médicament efficace et aux effets secondaires importants.
Elle dû faire un examen de sang tous les mois. Le traitement devait durer cinq mois…il en dura sept !
On lui indiqua que les effets secondaires seraient une sécheresse des lèvres, des yeux, des cheveux importants.
Rien de tout cela ne lui arriva…enfin pas à cet endroit, enfin pas ces lèvres…là
Au bout de sept mois, ce désagrément s’installant de manière permanente, elle en toucha deux mots à son dermatologue, priant secrètement pour qu’il ne l’ausculte pas.
Fort heureusement, le médecin peu courageux ne le fit pas et lui conseilla de mettre de la vaseline…(lire « végétaline et vaseline » )
Le traitement fut long. Les boutons disparurent petit à petit. Elle pu retrouver un visage normal, soulagée de ces pustules, offenses à une nature qui ne l’avait déjà pas gâtée...merde ! Mais quel soulagement !
Seulement des démangeaisons terribles prirent le relais…partout, tout le temps, l’obligeant à se cacher aux toilettes afin de soulager ce monstre. Elle vécu un enfer au travail.
Elle essaya d’appliquer du Mytosil, petit pommade que les mamans connaissent bien et qui soulage les érythèmes fessiers des bébés… pourquoi pas elle se dit-elle…elle le valait bien non ?
Riche de 2 tubes, elle s’appliqua régulièrement et consciencieusement chaque jour…la chose étant plus aisée à mettre qu’à enlever (oh putain que c'est gras !) Sa "foufounette" fut ainsi grimée de blanc durant un certain temps.
Rien au bout d’une semaine. Rien au bout de deux semaines...elle était dépitée.
Bien entendu il ne fut pas question de sex durant cette période !
Un jour, en discutant avec une collègue, celle-ci lui suggéra qu'elle avait peu être des mycoses.
Derechef elle alla à la pharmacie persuadée de tenir là la solution.
La vie ayant parfois un humour étonnant, sur les trois pharmaciens présents, c’est sur le joli brun au regard doux qu’elle dû s'adresser !
Sans se démonter, consciente du comique de la situation et faisant preuve de beaucoup d’autodérision, elle expliqua tout en essayant de conserver une certaine pudeur (putain l’air con !) son problème.
Le pharmacien paru intéressé puis sceptique, toutefois il lui conseilla des ovules.
-« souhaitez-vous que je vous explique » lui dit-il ? Elle devait vraiment avoir l’air chèvre !
- « non merci » lui répondit-elle, sa gêne grandissante et un sourire pinsé.
Et là, la phrase qui tue :
- « tenez-moi au courant » lui dit-il.
Elle mit quelques secondes à se rendre compte que c'est à elle qu'il s'adressait ! Le joli pharmacien paraissait sincère...
Cette fois sa gène était cuisante, ce charmant pharmacien qui désormais lui sourit toujours lorsqu’il l’a croise dans la rue semblait sincèrement s’inquiéter de sa « foufounette ».
Bref, elle rentra directement chez elle, son précieux colis sous le bras….partagé entre la gène et le rire surtout.
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Note added at 7 hrs (2010-08-18 22:04:58 GMT)
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Mes humeurs
1 2 suivant
Dimanche 4 juillet 2010 7 04 /07 /2010 10:27
Et vous trouvez ça drôle ? ! (1)
A trente ans, une amie vit fleurir quelques fâcheux et disgracieux boutons sur son visage et son dos.
Bien évidemment elle essaya toutes les crèmes et traitements possible et inimaginables y compris les remèdes de grands-mères. Sacrées farceuses les mamies !
Rien n’y fit, les boutons boutonneux étaient toujours là, insolents et arrogants...
Désespérée, elle consulta un dermatologue.
Elle en fut bien avisée car celui-ci, lui appris qu’elle avait une poussée d’acné.
Elle en fut étonnée, à son âge. Le médecin lui indiqua que le phénomène se répandait de plus en plus et il n’était pas rare de voir de jeunes femmes se retrouver à trente ans avec de l’acné.
Et alors ?
La médication proposé : Roaccutane. Un puissant médicament efficace et aux effets secondaires importants.
Elle dû faire un examen de sang tous les mois. Le traitement devait durer cinq mois…il en dura sept !
On lui indiqua que les effets secondaires seraient une sécheresse des lèvres, des yeux, des cheveux importants.
Rien de tout cela ne lui arriva…enfin pas à cet endroit, enfin pas ces lèvres…là
Au bout de sept mois, ce désagrément s’installant de manière permanente, elle en toucha deux mots à son dermatologue, priant secrètement pour qu’il ne l’ausculte pas.
Fort heureusement, le médecin peu courageux ne le fit pas et lui conseilla de mettre de la vaseline…(lire « végétaline et vaseline » )
Le traitement fut long. Les boutons disparurent petit à petit. Elle pu retrouver un visage normal, soulagée de ces pustules, offenses à une nature qui ne l’avait déjà pas gâtée...merde ! Mais quel soulagement !
Seulement des démangeaisons terribles prirent le relais…partout, tout le temps, l’obligeant à se cacher aux toilettes afin de soulager ce monstre. Elle vécu un enfer au travail.
Elle essaya d’appliquer du Mytosil, petit pommade que les mamans connaissent bien et qui soulage les érythèmes fessiers des bébés… pourquoi pas elle se dit-elle…elle le valait bien non ?
Riche de 2 tubes, elle s’appliqua régulièrement et consciencieusement chaque jour…la chose étant plus aisée à mettre qu’à enlever (oh putain que c'est gras !) Sa "foufounette" fut ainsi grimée de blanc durant un certain temps.
Rien au bout d’une semaine. Rien au bout de deux semaines...elle était dépitée.
Bien entendu il ne fut pas question de sex durant cette période !
Un jour, en discutant avec une collègue, celle-ci lui suggéra qu'elle avait peu être des mycoses.
Derechef elle alla à la pharmacie persuadée de tenir là la solution.
La vie ayant parfois un humour étonnant, sur les trois pharmaciens présents, c’est sur le joli brun au regard doux qu’elle dû s'adresser !
Sans se démonter, consciente du comique de la situation et faisant preuve de beaucoup d’autodérision, elle expliqua tout en essayant de conserver une certaine pudeur (putain l’air con !) son problème.
Le pharmacien paru intéressé puis sceptique, toutefois il lui conseilla des ovules.
-« souhaitez-vous que je vous explique » lui dit-il ? Elle devait vraiment avoir l’air chèvre !
- « non merci » lui répondit-elle, sa gêne grandissante et un sourire pinsé.
Et là, la phrase qui tue :
- « tenez-moi au courant » lui dit-il.
Elle mit quelques secondes à se rendre compte que c'est à elle qu'il s'adressait ! Le joli pharmacien paraissait sincère...
Cette fois sa gène était cuisante, ce charmant pharmacien qui désormais lui sourit toujours lorsqu’il l’a croise dans la rue semblait sincèrement s’inquiéter de sa « foufounette ».
Bref, elle rentra directement chez elle, son précieux colis sous le bras….partagé entre la gène et le rire surtout.
Discussion
Hasta pronto.
"Avez-vous du feu? Du feu pour ma cigarette? Ah, c'est vrai, vous ne fumez pas. Plus un homme pour vous donner du feu, car les hommes ne fument plus, maintenant; donc plus de feu. (Un groupe bruyant passe). Les femmes, elles, voyez comme elles se rattrapent: elles fument n'importe quoi, tabac noir, tabac brun, elles mâchonnent, elles chiquent; voyez l'allure qu'elles ont! Ah, je les déteste, je préférerais encore me passer de fumer. (Confidente:) Tenez, vous, dites-moi, pendant que nous sommes seuls: ***ai-je l'air chèvre*** de toutes ces femmes-là? Sans doute, aujourd'hui, l'insomnie m'enfonce un peu les traits, - je ne dors plus, vous savez?. Je ne peux plus dormir seule; alors je reste debout, je sors, je fais des rencontres. Mais ai-je ces têtes-là? (Le groupe bruyant est entré dans l'établissement, après des échanges de sourires avec Barba)".
Merci encore!
Considero que son aportaciones muy interesantes y sobre todo muy bien razonadas. Personalmente estoy preparado para un arbitraje en cualquier sentido. Éste es el otro enlace que encontré:
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:caJP0ta...
Saludos cordiales. Chema
Respecto a su texto, siento discrepar. En mi opinión, el farmacéutico no sabe que ella siente vergüenza por su micosis. Creo que piensa que la chica no tiene idea de cómo usar los óvulos y por eso le dice "¿quiere que le explique?". El narrador se permite decir entonces "elle devait avoir l'air chèvre", esto es "debía tener cara de pregunta/cara de tonta". Sobre todo porque antes dice "Putain, l'air con" (que es lo mismo que "l'air chèvre/l'air bête")... Pero bueno, como le digo, es sólo mi opinión, y para el texto de origen, no nos sirve de mucho, jajajaja
En el texto que usted publicó, cuando dice
"Le pharmacien paru intéressé puis sceptique, toutefois il lui conseilla des ovules.
-« souhaitez-vous que je vous explique » lui dit-il ? Elle devait vraiment avoir l’air chèvre !" significa que tenía cara de no saber, cara de tonta ("elle avait l'air bête" -sinónimo de "l'air chèvre"- por lo que el farmacéutico le pregunta si necesita explicaciones).
Pero en el texto que nos incumbe aquí, dado que se habla de que el insomnio le marca el rostro, me lleva a pensar que se refiere más a "parecer enojado" que a "parecer molesto". Es sólo mi opinión, y como dije antes, "l'air chèvre" está "mal" utilizado en el texto (personalmente, nunca lo había visto ni escuchado así).